Comment investir vos économies ?
La crise mord, la nervosité serpente sur les marchés financiers, la presse nous alarme chaque jour avec de nouveaux problèmes : ainsi, les citoyens et les familles qui disposent d’une certaine quantité d’épargne liquide et qui veulent la placer, tant pour la mettre à l’abri de l’inflation que pour en augmenter la somme, ont du mal à choisir dans la jungle des produits financiers existants. La peur généralisée accroît l’incertitude et freine les choix. Voici donc un guide qui vous propose des moyens sûrs de découvrir comment investir vos économies, en partant de trois sommes types : 10, 50 et 100 mille euros.
Bien investir votre épargne
Aujourd’hui, la situation économique internationale annonce chaque heure le défaut de paiement et la crise imminente, les personnes qui détiennent des portefeuilles d’argent (la somme de votre épargne) apparaissent de plus en plus stressées et en grande difficulté lorsqu’elles proposent des investissements ou des désinvestissements.
Vendre les actions ou les conserver, quel type de risque puis-je avoir en détenant des BTP, etc., il y a aujourd’hui de fortes perplexités. Mais, aux questions qui deviennent de plus en plus pressantes grâce au filet de nouvelles de chaque jour, les réponses à donner apparaissent absolument très complexes. En fait, la décision dépend essentiellement de la composition réelle de l’ensemble ou du portefeuille et de la part de la richesse réelle des personnes concernées qui est employée dans des activités financières, lesquelles suivent un mouvement oscillatoire radicalement effrayant et sont donc perçues comme un risque vraiment urgent.
Choisir, aujourd’hui, donc les minutes appropriées pour vendre et quoi vendre pourrait sembler plus un geste confié à la fortune qu’aux capacités d’un conseiller et encore moins à un petit investisseur bricoleur. Le moment opportun de ces temps est la condition plus cherche à vous, surtout de qui il a pour praticité décidé d’investir tout son capital dans un seul genre de produit, et pas au contraire diversifier habilement au but de diviser l’alea.
Diversifier est actuellement, mais l’était déjà dans le passé, le mot de passe d’un investisseur sensé, et cependant influence beaucoup la disponibilité de l’argent en main sur la possibilité de différencier les choix, évidemment comme le chiffre augmente aussi la faculté de le gérer de manière plus efficace en essayant d’amortir les éventuelles situations critiques. Il est toutefois important de toujours agir en fonction de sa situation financière personnelle et de sa capacité à gérer son temps, car prendre des décisions irréfléchies sur la vague des croquemitaines pourrait vraiment ruiner des vies.
Investissement patrimonnial
Avec une disponibilité réduite, il est absolument essentiel de deviner le bon moment pour acheter n’importe quel type de produit, généralement l’achat moins soumis au risque implique un investissement dans des formes telles que des titres, BOT, BTP…Même si pendant quelques instants ces produits consolidés auraient rendu anxieux les épargnants classiques à cause du bombardement médiatique de nouvelles sur la propagation, la vente de ces mêmes produits a donc provoqué une baisse significative des prix, qui ne doit cependant pas alarmer ceux qui les détiennent avec l’intention de les laisser dans le tiroir.
Le seul danger pour l’épargnant qui n’a pas envie d’acheter et de vendre est que l’État soit déclaré insolvable, auquel cas le remboursement du capital à l’échéance serait menacé.
L’épargnant qui se trouve avec un portefeuille de 10.000 euros investis tout en actions a certainement une plus grande aptitude à supporter des pertes en pourcentages élevés par rapport à l’épargne, aussi en cas de baisse de la bourse il serait mieux de résister et de viser une récupération en termes de moyenne longue durée.
Avec une disponibilité limitée à 10.000 euros, il pourrait également être intéressant, en améliorant la gestion des liquidités, d’envisager des accords de rachat et des dépôts à terme pour obtenir un taux annuel brut supérieur à 4%, ce qui n’est pas mal si vous voulez garder l’argent sans maximiser le risque.
Investir dans des actifs
La gestion de 50.000 euros d’épargne garantit sûrement des occasions d’attitudes diversifiées et sûrement plus rentables pour l’épargnant.
Il pourrait être intéressant d’alterner entre les obligations d’État et les obligations, certainement plus favorables en termes de sécurité. En outre, l’approche des fonds communs de placement pour accéder aux catégories d’obligations qui, depuis peu, sont considérées comme moins risquées que les obligations d’État.
En tout état de cause, la disponibilité indiquée permet tout d’abord la diversification dite calculée, dans le seul but de pallier les insuffisances de certains produits et éventuellement d’amortir les pertes des uns par les bons gains des autres. Il est opportun d’utiliser non seulement des actions uniques, mais des fonds d’investissement à gestion active ou passive, et c’est alors dans la main de l’épargnant le plus avisé le choix des sociétés qui opèrent dans des secteurs dits dans le jargon plus défensifs qui est moins exposé aux turbulences.
Toujours en référence à une liquidité de 50.000 euro en main à une famille, il vaut mieux se rappeler que rester orienté à une épargne qui donne une garantie de non perte moyen-haut, c’est-à-dire des investissements qui maintiennent un profil de risque moyen-bas. La division calculée de la somme prévoirait l’investissement de 40% du portefeuille dans des actions d’État avec échéance entre les 3 et les 5 ans et la partie restante qui n’est pas souhaitée pour tenir en liquidité, pourrait être bien employée peut-être à 10% dans des obligations allemandes, en ce moment à bas risque.
Investir 100 000 euros
La disponibilité d’un chiffre cohérent comme ils sont 100.000 euro d’épargne prévoit une diversification optimale, en termes d’actions le conseil plus favorable propose en couplage aux actions du gouvernement, des obligations d’entreprise et de Pays émergents en monnaie locale, en évitant précisément obligations allemandes ou américaines aux moments surévalués. Le seuil de liquidité permet donc à une famille qui dispose du chiffre en question, une grande possibilité de diversification.
En maintenant une liquidité au 25% du montant total disponible la différence serait conseillée de l’investir en obligations et actions, étant juste le profil de risque à un seuil moyen. Il est important de choisir des actions et des obligations et en ce moment les experts dans cette circonstance spécifique recommandent d’inclure les actifs des pays émergents en monnaie locale afin de bénéficier du développement des zones en question.
Pour ceux qui ont besoin d’entrer en bourse sans anxiété ni stress, il existe aujourd’hui des PAC, c’est-à-dire des plans d’accumulation, qui se définissent comme une méthode permettant d’exploiter les baisses des cours de la bourse. En pratique, ils consistent en un investissement par tranches, c’est-à-dire que chaque mois ou chaque trimestre, de petites sommes d’argent sont versées pour acheter des parts de fonds communs de placement ou de fonds de placement électroniques. Il est donc surmonté l’anxiété du cours du marché, dans combien le PAC travaille au contraire et il est acheté si la Bourse descend, tandis qu’il est réussi à acheter cycliquement et pas tout à la fois.